Ce texte est polémique, iconoclaste, peut-être choquant… et surtout peu politiquement correct mais à mon âge on a le droit de dire ce qu’on pense.
De plus avec les récentes révélations des délicieuses pratiques de cet emplumé de Barbarin, (Oui le fameux cardinal de Lyon !) je ne vais pas me gêner. Dont acte.
Ces confidences ne sont pas à mettre dans toutes les mains ni… dans toutes les bouches. Vous m’avez compris ! Vous êtes prévenus (et surtout prévenuES !) que si vous continuez à lire ce pamphlet ce sera à vos risques et périls… Et en cas de pathologie de rejet, de traumatisme psychique et d’effets secondaires il ne vous restera plus qu’à aller à ‘con_fesse’ chez le Primat(e) des Gaules lyonnais… Avec Babar ça repart mais ne perdez pas de temps car il paraît qu’il va démissionner !
J’avoue !
Dès la puberté j’ai été jouisseur, branleur, bandeur, libidineux, toutes spécialités incluses. J’en ai usé (oh ! là là), parfois même abusé. J’ai pratiqué tous les genres : Des partenaires mignonnes, très jolies, laides aussi, grosses, voire très grosses… Même plus âgées que ma propre mère ou plus jeunes que ma propre fille, pour ne pas parler d’expériences qui étaient de genre pas très féminin! Dois-je me justifier puisque tout le monde est comme moi… ou presque? Tout le monde lit, tout le monde regarde la télé, tout le monde s’est hasardé sur des sites Internet peu avouables, tout le monde sait, tout le monde s’est touché (ou fait toucher!) sous les couvertures ou ailleurs, tout le monde a envie, tout le monde aurait aimé ou aimerait essayer quelque chose de nouveau, tout le monde bande, jouit… mais tout le monde se bouche les oreilles, tout le monde détourne le regard…
Tout le monde est un peu faux cul… en matière de cul !
J’ai aimé les fantaisies sexuelles et assume mes fantasmes, mon mode de fonctionnement et mes anciennes pulsions: Par exemple, la ‘bête à deux dos’, me faire ‘agacer le sous-préfet’ et je n’hésite pas à évoquer les ‘concerto de clarinette à moustaches’, ‘se faire une paire de bacchantes avec l’angora d’une frangine’ ou ‘mettre la paluche dans la boîte à ouvrage d’une lamdé’…
Je vous sais l’esprit assez souple et affranchi pour me comprendre et même ceux qui «n’entravent que dalle quand je jaspine l’arguemuche» subodorent l’impertinence, le travers vicieux, le franchement cochon et sont priés ne pas lire la suite qui risque de choquer leur morale, leurs convictions radicales socialistes et remettre en question des années de vertueuse éducation catholique ou calviniste ! Adieu, ciao, au revoir merci à la prochaine !
Pour ceux qui restent (tiens vous êtes là les curieux?), j’avoue avoir parfois payé des dames (vous savez celles qui fument dans la rue et qui disent ‘tu’) pour assouvir ces pratiques.
Je le regrette !
Non, Non… Je ne fais pas amende honorable à la Dominique Strauss Kahn… Ce que je regrette c’est d’avoir payé ces gâteries par manque d’information.
Si les pontes du Vatican, l’épiscopat (Salut Babar !), le clergé, les papes, les soupapes et autres vertueux pseudo-ascètes religieux n’avaient pas décrété l’omerta sur des pratiques courantes dans la curie et le sacerdoce, maintenant tombées dans le domaine public, j’aurais économisé pas mal de fric…
IL M’AURAIT SUFFIT DE FREQUENTER LES SACRISTIES POUR ASSOUVIR MES FANTASMES…GRATUITEMENT !
Ite missa est. Amen.
Ben , ça, c’est dit !… Et bien dit 🙂
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Effectivement les amours tarifées n’ont plus lieu d’être lorsque l’on passe une robe. Voire des bas pour des ébats qui font débat. Mais il vaut mieux se perdre dans le triangle des Bermudes en payant la co-pilote plutôt que de sucer les cordes à nœuds du Vatican. L’église roule en décapotable pendant que le troupeau rampe sur le pavé dépravé. Ceci dit ce ne sont pas les chauds lapins qui ont les plus grandes oreilles car les voies du seigneur demeurent pénétrables.
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