Un matin dans un camping des Pyrénées…

Nous pensions avoir fait ‘péter les plombs’ de notre connexion électrique avec l’allumage simultané du toaster et la bouilloire pour le café! Je me précipite à la borne électrique et constate que le problème est plus généralisé puisque nous sommes une demi-douzaine sur place. On a déjà hélé le gardien qui cherche le fusible en arrêt maladie, en retraite anticipée, RTT ou en grève. Eh! Normal, nous sommes en France et vous connaissez le sujet non? Pas de quoi revêtir un gilet de couleur…

Conciliabule : «Moi j’ai un toaster de 2200 watts !» Un autre : «J’ai mis un moment le chauffage électrique pour casser le cru du matin!» Le suivant : «J’aurais dû demander 8 ampères!» Puis, sans qu’on sache qui était ‘le responsable disjonctant’ s’ensuit un échange de paroles aimables, drôles aussi : « Nous devrions dire merci au gardien qui a, c’est sûr, coupé volontairement le courant pour nous réunir, ayant constaté que depuis l’avènement des réseaux sociaux tout le monde est connecté, le nez dans son smart phone, 200 amis sur Facebook mais ne parle avec personne ‘à de vrai’ »Eclat de rire général et les jours suivants, quand nous nous rencontrions sur le terrain ou au bistrot nous échangions de joviaux et amicaux saluts avec ceux qui n’étaient auparavant que des étrangers, des inconnus.

 «Alors on se voit demain matin pour parler d’ampères et de toaster?»

Elle n’est pas belle la vie?

Ce texte rejoindra ma page SOUVENIRS RETROUVÉS SUR MON BLOC NOTE ! 

Grosse ? Mais non… juste obèse !

Dans la série « Les Refusés » je viens de retrouver un texte dont le journal des rives lémaniques « La Côte » n’a pas voulu. Ça vous étonne ? Peut-être aurais-je dû l’intituler

La chanson est-ce de l’art ou du lard ?

 Amies de mon blog ne vous froissez pas. J’ai connu et je connais encore des femmes bien en chair. Elles sont belles, pleines de vie et de santé… sous toutes ses formes, j’ai vérifié ! Donc je n’ai rien contre (étant même parfois tout contre !) les petits bourrelets d’amour mais trop c’est trop. Voici l’article refusé en son temps, avec la réponse du journal en question. Chacun se fera son opinion. Bonne lecture !

 Bonsoir La Côte ! Oserez-vous publier ce petit texte ? Amicales salutations.

 Honte au festival Paléo… Honte au journal  La Côte !

Le festival nyonnais est connu au loin pour son engagement écologique. C’est aussi le credo du boss de Paléo, par ailleurs investi en politique sur le même chemin.  Evoquons donc l’écologie et ses corollaires : hygiène de vie et bien être !

Sachant que notre civilisation est victime de maux pandémiques bien plus graves que la grippe N1H1 : la ‘malbouffe’ et l’obésité, comment pouvez-vous présenter une chanteuse Bibendum, en faire la vedette de la soirée et surtout la représenter en première page de mon quotidien préféré ? Je ne sais pas ce que chante  l’emblématique (dixit La Côte du 22 courant !) mais je vois qu’elle s’apparente plus à un tas de saindoux qu’à une artiste.  Encore une fois : Honte à vous les organisateurs et les journalistes de nous imposer l’image dégoûtante de cette grosse ‘dondon’ qui pourrait inciter des jeunes influençables et vulnérables à continuer de se goinfrer de saloperies sucrées et graisseuses devant leur télévision en écoutant Madame Beth Ditto (c’est son nom), gonflant les tristes statistiques de l’obésité dans le monde?

Refusé mais au moins ils ont eu la correction de me répondre :

Monsieur,

nous avons décidé de ne pas publier votre texte. Le courrier des lecteurs est un espace qui répond à quelques règles. Ainsi les lettres ne doivent pas être injurieuses et vos propos pourraient éventuellement susciter une plainte et engager notre responsabilité éditoriale. Par ailleurs, la tonalité de votre propos laisse apparaître un racisme « anti-gros » que nous ne saurions tolérer dans notre quotidien. L’intérêt journalistique pour un artiste en particulier ou un sujet en général ne repose nullement sur le physique de la personne.

Néanmoins nous vous remercions de l’intérêt manifesté pour notre publication et vous présentons nos meilleures salutations.

Contessa Piñon et Philippe Villard, rédacteurs en chef adjoint

 

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Qui a dit : Quelle horreur ? Faites bien attention je pourrais vous dénoncer au Journal La Côte…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Bon! Je vous laisse pendant quelques jours, le temps d’aller au bord de la Méditerranée essayer de perdre un peu de poids !

Castrez-les !

Ce qui vient de se passer en France avec le viol et le meurtre de la petite Angélique m’incite à ressortir un ancien coup de gueule qui préconisait l’unique traitement à imposer à cette « charogne de bête » sexuellement dérangée. Pauvre gosse !

Dans le bassin lémanique une contrôleuse des Chemins de Fer helvétiques avait été agressée et ‘caillassée’ au petit matin. A la suite de l’article paru dans ‘Le Matin’ j’avais répondu et… bon vous me voyez venir hein ? On ne m’a pas publié ! Comme je subodorais la réaction du journal, j’avais commencé par : Ce petit texte est peut être trop viril pour les chastes oreilles de vos lecteurs ?

Souffrez que je vous le fasse lire:

Au sujet de la contrôleuse ‘caillassée’, castrez-les !

Au ‘Matin’ vous nous racontez les péripéties de ces malsaines bestioles qui ont attaqué, battu et lapidé une innocente contrôleuse des Chemins de Fer. Accepteriez vous une solution toute simple pour remédier aux néfastes frasques de ces invertébrés?

Facile. Inspirons nous de la zoologie, catégorie à laquelle émargent naturellement les petits cons en question: En cas d’agressivité dangereuse chez les chiens, on les fait castrer et la plupart du temps ils deviennent doux comme d’aimables… toutous!

Ne cherchez pas midi à quatorze heures. Faites castrer ces salopards d’agresseurs du petit matin et notre sympathique contrôleuse pourra reprendre son travail sans qu’on nous gonfle les choses de la vie avec des suivis psychologiques. Coupez les couilles à ces fumiers de parasites inutiles et que la paix règne dans nos transports publiques.

Au vu de la récente actualité j’aurais pu ajouter : Que la paix règne dans les parcs publiques où jouent des enfants !

Ce texte trouvera place dans ma page Mondo Cane… c’est la moindre des choses non?

« Les refusés » (suite)

Sous-titre: Y a jamais personne qui m’aime!

Dans la série Les refusés, voici un texte que j’avais envoyé à un quotidien de la région Lémanique. Devinez!… Il n’a pas été publié.

Bravo La Côte… pour la politesse!

 Dans votre édition du 8 novembre vous intitulez un article: Zappelli démissionne.

Monsieur le Rédacteur en Chef, Monsieur le correcteur de service, dans quelle école avez-vous appris la politesse? On évoque beaucoup l’indiscipline de la jeunesse, son manque de respect, sa manière d’écrire… bref ses lacunes d’éducation. Mais comment des professionnels de l’écriture peuvent-ils éluder le prénom et le titre d’un procureur, parlant de lui comme du dernier des manants?

«Daniel Zappelli démissionne» ou «M. Zappelli démissionne» ou même «Le procureur Zappelli» serait-il inconvenant? Est-ce peut-être une une manière de mépriser un magistrat que vous n’aimez pas?

Bon… vous n’êtes pas les seuls à manquer de respect aux autorités, je vous l’accorde. Il n’est de jour sans une impolitesse du genre: Bayrou démissionne, LePen en échec ou Sarkozy au plus bas dans les sondages.

Je trouve ce procédé inadmissible, s’agissant de journalistes qui devraient pour le moins montrer l’exemple.

(J’avais signé de mes nom et prénom!)

Donc pas publié mais.. j’avais obtenu une réponse de Patricia, cheffe d’édition. C’est toujours ça de pris non?

De : Edition Lacote

Envoyé : mercredi, 9. novembre …18:03

À : xxxxxxx@gmail.com

Cc : Contessa XXXXX

Objet : Concernant la politesse

Monsieur,

Nous avons bien reçu votre remarque et tenons à vous affirmer qu’il ne s’agit pas ici d’une marque de mépris ou d’un manque de politesse envers le procureur Daniel Zappelli. Il existe malheureusement des contraintes de place dans les colonnes d’un journal qui nécessitent ce genre de raccourcis. Vous noterez cependant que dans le texte qui suit, le nom et la fonction de l’intéressé ont été énoncés dans leur intégralité. Nous espérons avoir répondu à votre interrogation et vous prions d’accepter, Monsieur, nos salutations distinguées.

Patricia XXXXX

Cheffe d’édition La Côte

Je n’avais pas hésité à ruer dans les brancards. Oui je sais, ça ne sert à rien, mais il n’est pas interdit de se défouler. Ça fait du bien!

 

Merci d’avoir pris la peine de me répondre. J’étais rédacteur d’une revue sportive alors que vous n’étiez pas encore née et peux me targuer de connaître les cicéros, les points, les casses, le choix des polices et les problèmes de justification mais vos arguments de manque de place pour votre titre grossier me font doucement ricaner… Vous n’acceptez tout simplement pas qu’on se permette de vous mettre parfois le nez dans votre grossièreté! Quelle suffisance.

A bon entendeur

Salutations confraternelles… mais pas distinguées!

‘akimismo’