Humour et publicité…

… sont-ils compatibles ?

Poêles antiadhésives (2)

Suite de mon texte publié sur ce blog le 29.04.2023!

Ben quoi… je tiens mes promesses non ?

Cette compilation est principalement extraite de mes archives, de certains textes publiés ailleurs il y a longtemps et aussi, bien sûr, de piqures de rappel dues à la mémoire de Madame Gogol et Monsieur Wikimachin !

Je commence par une remarque du Dr Christian Recchia, un de ces toubibs qui passent, paraît-il, à la télévision… que je ne connais bien sûr pas, manquerait plus que ça, mais qui est tout de même médecin ! Écoutons-le :

« 99% des êtres humains seraient contaminés ». C’est une étude alarmante sur le danger des poêles antiadhésives :

 Si vous en avez chez vous, veillez à vérifier qu’elles ne sont pas abimées car elles pourraient grandement nuire à votre santé, selon une nouvelle étude scientifique.

Après analyses, les chercheurs ont découvert qu’une seule égratignure de cinq centimètres sur ces poêles-là avait libéré jusqu’à 2,3 millions de microplastiques. (Moi non plus je ne sais pas ce que sont ces michomachins mais ça ne doit pas être très comestible !). Et ce, en 30 secondes seulement. Un constat plus qu’inquiétant sachant qu’une fois ingérés, les composants toxiques présents dans les aliments resteront dans le corps pendant une longue période.

Venons-en à des faits prouvés :

Le polytétrafluoroéthylène (sigle PTFE), un fluoropolymère issu du tétrafluoroéthylène10, découvert en 1938 par le chimiste Roy J. Plunkett (1910-1994) travaillant pour la société américaine du Pont de Nemours (Tiens tiens, note akimismo !), fut commercialisé en 1949 sous les marques déposées Teflon, Hostalen, Hostaflon, Fluon ou Soreflon. La plus connue étant le Teflon de DuPont.

Le PTFE est un polymère, et je postule donc que cette abréviation du domaine public n’est pas soumise à des réserves légales mais… afin de ne pas m’exposer à la vindicte juridiquement procédurière des descendants de Éleuthère Irénée du Pont de Nemours 1771-1834, j’ajouterai un ® à leur marque fétiche, donc Teflon ® comme « Registrède »

Je vous la joue ‘écologique’ : Faut-il se réjouir que le polytétrafluoréthylène soit le seul matériau auquel les pattes des geckos (pauvres bêtes !) n’adhèrent pas ? Vous préférez que je vous la fasse ‘sportif’ ? Le fameux Goretex, imperméable indispensable au skieur, randonneur, champignonneux ou ‘joggeur’ est constitué principalement de Teflon® ! Les amateurs d’activités de plein air apprécieront mais tempéreront leur enthousiasme à la lecture du texte qui suit, un peu amputé par mes soins de tout le côté hyper technique et préservation de l’environnement. Vous connaissez ma position sur l’écologie telle qu’elle est pratiquée de nos jours. Ce n’est que de la politique de gauche incohérente puisque provenant de personnages surtout enclins à monter à une tribune pour se donner de l’importance que de scientifiques apolitiques mais compétents. Donc les Verts politiques m’emmerdent et je ne parlerai qu’avec des écologistes scientifiques connaissant leur sujet. (Il doit quand même en exister quelques-uns, bien sûr pas à l’Assemblée Nationale !)

L’honnêteté me commande de citer mes sources, afin que les intéressés puissent lire la totalité technique de l’article

http://fr.wikipedia.org/wiki/Polyt%C3%A9trafluoro%C3%A9thyl%C3%A8ne

Il est temps d’affronter la vérité ! Attention danger : combinaisons anti G, gilets pare-balles, masques à oxygène, scaphandres et quadruple vaccination fortement conseillés. Je vous l’avais dit : Ça va ‘chier’ ! Alors… prêts ? Go !

 Le Teflon® ‘serait’ non dangereux à basse température, mais commence à émettre des émanations toxiques à 230 °C (température atteinte par une poêle après 2 à 5 minutes d’utilisation normale) engendrant des émissions parfois mortelles pour les oiseaux, pouvant causer des symptômes s’apparentant à la grippe chez les humains.

On a trouvé que l’acide perfluorooctanique PFOA, un produit chimique employé pour fabriquer le Teflon® (et les poêles Tefal jusqu’il y a peu, salut Véro), était « cancérogène ». Tiens, tiens !

Les laboratoires DuPont ont été condamnés à payer plus de 16 millions de dollars aux autorités sanitaires des États-Unis pour avoir dissimulé certains risques potentiels et le Teflon® a été classé cancérogène possible, ce que DuPont de Nemours savait depuis 1981 mais n’a rien dit. À la suite d’une action en justice, menée par 60’000 habitants résidant près d’usines américaines du groupe, il s’est avéré que la célèbre multinationale avait caché des études montrant les dangers du Teflon®. On le croyait inerte et inoffensif. En réalité des études récentes montrent qu’il dégagerait des polluants parmi les plus dangereux et DuPont fut condamné à débourser 345 millions de dollars pour les dédommager (Oui vous avez bien lu : un tiers de milliard de dollars) l’obligeant à stopper l’émission dans l’eau et le sol de son acide perfluorooctanique, produit qui, comme d’autres perfluorés sont réputés persistant dans l’environnement et accumulables dans les tissus adipeux des organismes vivants, toxique pour l’homme et les animaux.

Cette ‘merveille’ chimique a été trouvée dans le sang du cordon ombilical de 100 % (oui, 100%) de 299 nouveau-nés testés à Baltimore, ce qui prouve une contamination intra-utérine généralisée dans cette région.

Vous aimeriez une conclusion optimiste ?

En janvier 2006 (Vous avez bien lu… 2006 déjà !) DuPont de Nemours, la seule compagnie à utiliser l’acide perfluorooctanique (PFOA) en usine sur le territoire américain, a annoncé son intention de supprimer les émissions de ce produit, Ahhh !… Mais n’a pas prévu de ne plus utiliser ce composant essentiel à la production du Teflon®. Ohhhh ! On dit, dans les milieux généralement informés, que cette promesse ne concerne pas les usines DuPont hors des États Unis. Il doit bien y en avoir non ?

Merci de m’avoir lu. Je vous souhaite un excellent steak bien saisi (à plus de 260º !!!) dans une poêle ‘normale’ en simple ferraille (pour les pinailleurs, vitrocéramistes et inductionalisés, on peut aussi utiliser sans problème une simple poêle en acier inox, mais non fabriquée par les disciples du PTFE !) et si vous n’êtes pas d’accord avec ma polémique, allez vous faire cuire un œuf… dans une poêle en Teflon® ou autre criminel revêtement antiadhésif.

T’es fou… t’es flou… Teflon®

Sur ce blog, nous avons partagé quelques réflexions au sujet des poêles antiadhésives. Or, il se trouve que c’est un sujet qui m’intéresse (depuis plus de 50 années !) et une ‘ aminaute ’ (Vous avez dit aminaute ? Oui, c’est un néologisme de son cru qui me plaît, salut Véro) m’a demandé de préciser mes convictions. Dont acte, avec un premier article écrit il y a plusieurs décennies, mais qui n’a pas trop souffert du temps qui a passé… du moins le crois-je !

Bonne lecture et à dans quelques jours pour plus d’arguments techniques et scientifiques prouvés, donc peu contestables. A+

Mon texte :

Il est collant ce type…

 … disait Sophie Daumier à Guy Bedos dans un sketch fameux.

Mon propos du jour sera plutôt, au contraire… ‘antiadhésif’ !

 Années 70. Ayant laissé le confort de ma relation matrimoniale, puis une liaison ‘concubinaire’ avec une excellente cuisinière d’origine italienne, j’ai été contraint d’apprendre à cuisiner… des œufs au plat. J’ai bien sûr acheté une poêle à revêtement antiadhésif, qui semblait convenir aux œufs, qu’on chauffe à moins de 140°, puis j’ai passé à la confection d’un steak en me souvenant des maîtres queue de notre cabane de ski-club dans les années 50/60 (Salut Misou!) : un steak doit être saisi à haute température, disaient-ils en enfumant le réfectoire. J’ai donc mis en pratique le ‘surchauffage’ de la poêle… Putain ! L’odeur insupportable… Il ne m’a fallu que quelques secondes pour comprendre que cette merde de revêtement antiadhésif, forcément encore plus cancérogène à hautes températures, en voulait à mon intégrité physique… comme du reste à celle de quelques centaines de millions de victimes du progrès ! Et ne vous faites aucune illusion sur les divers autres revêtements qu’on essaie de vous vendre : aluminium, céramique et j’en passe. C’est la même ‘merde’ !

Il y a 28 ans, arrivés en Andalousie, nous avons redécouvert les vertus de la bonne vieille poêle en ferraille ordinaire. Conseillés par les autochtones, ayant survécu tant au franquisme qu’au socialisme, nous avons « culotté » la poêle en y faisant chauffer très fort du gros sel, qu’on jette avant de rincer et d’obtenir une poêle qui attache moins que celle au Teflon®, ceci définitivement. C’est aussi simple que ça. Coût 3 € pour l’achat de la poêle au marché local et 10 centimes pour le sel.

Après chaque utilisation, alors que l’ustensile est encore brûlant, on rince à l’eau froide, ‘pscheeeee’, sans aucun produit détergent, on donne un coup de brosse de chiendent (pas de plastique qui brûlerait), un essuyage au torchon ou au papier ménage plus 3 gouttes d’huile pour éviter la rouille… c’est tout.

Désolé pour vous, les « vitrocéramistes » et « inductionalisés », ce genre de poêle ne fonctionne qu’avec le gaz. Mais il n’est pas inutile de rappeler que tous les grands chefs cuisiniers cuisinent au gaz, avec des poêles en ferraille ! La preuve ci-dessous…

Du reste je fais toute ma cuisine asiatique avec un wok de la même matière !

Bon, assez pour aujourd’hui. Un de ces prochains jours je vous parlerai du Teflon® ou polytétrafluoréthylène (PTFE) de son nom scientifique et de son dangereux complice, l’acide perfluoro-octanoïque (PFOA). Et ça va chier… je vous le promets!

En attendant, je vous conseille des fruits de saison en entrée, un potage, un steak tartare avec de la salade et une bonne cassata au dessert…

J’ai traduit pour vous !

A plusieurs reprises, j’ai publié ici des traductions de textes d’Arturo Pérez Reverte, académicien de la Real Academia Española, romancier, et surtout éditorialiste pamphlétaire ! Je lui soumets toujours mes écrits et son assistante vient de valider une nouvelle traduction qui, j’espère, vous fera sourire… pour le moins.

Voici le mail que je viens de recevoir: “Por indicación del Sr. Pérez-Reverte le transmito la autorización para publicar en su blog la traducción al francés del artículo Me tenéis acorralado, cabrones, XLSemanal 27.10.2022, del que es autor don Arturo”.

Il s’agit d’un ‘coup de gueule’ paru dans XLSemanal, le supplément hebdomadaire de mon journal, et ceux qui connaissent mon aversion pour les téléphones portables, comprendront que je suis heureux de partager les idées et la verve d’un personnage ‘aussi haut en couleurs’ que lui !

Cornelia insiste pour que je prenne son ancien Nokia quand je m’aventure sur des chemins un peu… escarpés, en promenant Nico ! Elle a installé une carte à prépaiement, dont je ne connais même pas le numéro. Nous rechargeons (obligatoirement) une colossale somme de 5 euros (le minimum possible) chaque 6 mois, investissement perdu, puisque je n’utilise jamais cet appareil.

Place à Arturo Pérez Reverte, traduit par akimismo :

Vous m’avez coincé… bande de crapules !

(Titre original Me tenéis acorralado, cabrones)

En principe, je me retiens, mais il y a des limites, et elles sont franchies. Avec mon vieux téléphone portable Nokia dans la poche, qui me sert à… téléphoner (!), donc sans Internet, ni applications, ni whatsmachin, je n’ai besoin de rien transporter d’autre sur moi, même si ça contrarie mes amis connectés ! Hein… t’as pas WhatsApp ?

J’ai bien sûr un ordinateur, comme tout le monde, que je croyais suffire à mes nécessités, je dis bien ‘que je croyais’… naïf, car il semble qu’actuellement ce ne soit plus le cas, que le monde entier se soit ligué contre moi, m’obligeant à utiliser une de ces incongruités de smartphones. Pour me pourrir la vie, bande de crapules !  Je comprends que, pour leur travail, ou par goût personnel, certains aient besoin ou désirent avoir un mobile. C’est leur droit, chacun étant libre d’organiser sa vie comme il le veut… mais fichez la paix aux autres, et laissez-nous le choix de notre modus vivendi.

Oubliez les fallacieux prétextes utilisés par les banques, lignes aériennes, de toutes les corporations et négoces sans scrupules qui affirment que cette nouvelle technologie vous facilite la vie en abaissant les couts de leurs services. Tu parles ! Ils nous empêchent surtout de renoncer à ces, euh… facilités, nous qui n’avons rien demandé.

Personnellement, ce qui me faciliterait la vie, serait de recevoir du courrier, traditionnellement sur papier, permettant d’archiver les documents importants comme les quittances de l’électricité, de l’eau, des impôts et toutes les communications officielles, même … les amendes !

Je ne vois pas pourquoi je devrais passer une heure à déchiffrer si la télé consomme plus ou moins de courant que le lave-vaisselle, ni convertir une opération bancaire ou tout paiement de taxe municipale en un imbroglio compliqué plein de codes, de clés, de signatures électroniques et de confirmations d’identité. Tout ceci, bien entendu, à la condition qu’aucune interférence cybernétique ne te renvoie au point de départ…

L’immense problème actuel, dû à la main mise de la grande pute (Don Arturo dixit !) informatique, est que de moins en moins d’opérations peuvent s’imprimer. Essayez avec la carte d’embarquement pour prendre l’avion, l’entrée au cinéma, ou au musée, toutes manoeuvres impossibles sans un téléphone ‘intelligent’ avec des codes QR. De plus en plus d’opérations impossibles à réaliser avec un document imprimé ! Je l’ai vécu au cinéma l’autre jour, avec les billets d’une compagnie aérienne et la réservation d’un hôtel.

Un téléphone dit intelligent de la dernière génération s’avère un outil indispensable, aussi pour ceux qui n’en veulent pas ou qui ne savent pas l’utiliser, sans parler ceux qui n’en possèdent pas !

Si vous voulez voyager, gérer quelque chose, bref… vivre, vous êtes condamné à toutes sortes de saletés d’applications, à vous immerger dans ce stupide monde virtuel de messages, clés, mots de passe et dépendance. Bien sûr que les gamins, que nous avons éduqués dans la suicidaire négation du désastre, semblent nés déjà dressés. Tant mieux pour eux mais… que se passe-t-il pour les aînés ? Quid de ceux qui ne peuvent pas, ou ne désirent pas s’adapter à cette forme de vie ?

Les solutions qu’on nous propose donnent la chair de poule, du genre cours pour le troisième âge qui devraient permettre, à nous les ‘vioques’, de nous adapter. Pour que les octogénaires qui n’ont pas de neveux, fils ou petits fils, apprennent à décharger les indispensables applications pour supporter ce qui leur reste d’espérance de vie, l’oeil et l’oreille vissés à leur mobile !

Y en a marre, et je vous laisse continuer à brouter avec le troupeau, étant entendu que la comédie et les contraintes sont irréversibles et que nous sommes condamnés à les subir, en bouffant tous dans la même auge.

Ma seule consolation est de disposer de cette page hebdomadaire pour me défouler, parfois en distillant mon fiel. (Note du traducteur : Et moi aussi j’en profite, en vous lisant. Merci Don Arturo !).

Je peux ainsi vouer le système aux gémonies et vomir sur ceux qui me poussent, comme le reste du bétail soumis, dans ce cul de sac… sans issue, comme son nom l’indique !

Reste-t-il une alternative pour ne pas rejoindre ceux qui trouvent normale l’aide de leur smart au moment d’embarquer dans un avion, de régler à distance la température de leur logement, et même de lire le code QR des menus au restaurant ? Ceux qui souffrent d’une dépendance maladive à leur stupide accessoire ? Ceux qui sont désespérés quand ils perdent leur missel moderne, quand on le leur vole ou qu’une chute sur le sol le met en pièces détachées ? Ceux qui pleurent la perte de leurs photos de famille et des applications qui leur permettent de survivre dans le monde hyper-connecté actuel ?

Sans parler de ceux qui hurlent leur désespoir parce qu’on on les a ‘hackés’ depuis Singapour, la Patagonie ou plus certainement depuis le Niger.

Être âgé et ‘amorti’ me permet de rêver, je le jure sur le Sceptre d’Ottokar, d’un iceberg géant, plus grand que celui qui coulé le Titanic, d’une monstrueuse tornade ou explosion solaire, d’une extinction planétaire totale… qui enverrait tous les smart phones et leurs applications se faire foutre (NdT Désolé pour les prudes oreilles de mes lectrices mais c’est la traduction du mot ‘puñetas’ utilisé par M. Reverte) et laisser l’humanité se regarder sans savoir que faire ni comment le faire.

Et moi, bien évidemment, j’irai avec vous tous… manquerait plus que ça, mais vous me reconnaîtrez dans le troupeau puisque je serai le seul à m’esclaffer, hilare comme Samson devant les Philistins, alors qu’utilisant sa force magique, il avait provoqué l’écroulement du temple sur les tyrans et sur tout le peuple qui s’y trouvait.

(Dernière note du traducteur : « Don Arturo… me permettrez-vous de vous accompagner dans ce fou rire ? »

Il va manquer des jours en décembre…

… et il me reste trop peu de temps ‘non férié’ pour publier mes dernières compilations. Le calendrier 2022 s’emballe, me contraignant à jouer mon joker, reportant mes élucubrations sine die (comme on le dit en politique), au moins jusqu’à l’an prochain.

Ceux qui me suivent connaissent mon aversion chronique pour les fêtes de fin d’année, et tout le bordel qui les accompagnent. Je ne vais pas perdre mon temps (et surtout le vôtre…) avec mes sempiternelles rengaines, coups de gueule et distillation de fiel que suscitent chez moi les derniers jours de décembre. Un texte publié ce matin par un ami ‘blogonaute’ et les commentaires de ses suiveurs-euses (Salut Jourd’hu, Natlarouge et les autres) me prouve que je ne suis pas seul à subir les stupidités, les hypocrisies et les excès de fin d’année!

Je vais bien sûr continuer à vous lire, même entre les lignes s’il s’agit d’allusions aux festivités. Basta ya, comme disent les Andalous!

Celles et ceux qui célèbrent sincèrement, peut-être même avec des convictions, ces obligations commerciales, sont complices de les accepter… mais c’est leur droit, excusez-moi de ne pas partager ces orgies coûteuses, souvent bigotes et inutiles.

Je me réjouis d’arriver en janvier, un mois qui me procure chaque année une volupté jouissive, car je suis toujours très à l’aise financièrement en début d’année. Facile, puisque je ne fous jamais les pieds dans les négoces en décembre, n’accepte ni ne fais de cadeaux et ne suis consommateur d’aucune célébration de fin d’année! Pour le coup, personne ne viendra me casser les ‘choses de la vie’ avec des conneries de réveillons de noël et de l’an… dont le prix exorbitant est aussi payé par de pauvres canards odieusement gavés.

Donc, je rentre dans ma coquille avec un petit clin d’oeil: Alors que je pensais, comme tous ceux qui étalent leurs bonnes résolutions pour 2023, changer ma voiture pour une Tesla: je garde ma Rolls Royce… au moins jusqu’à la prochaine coupure de courant électrique ou grève des distributeurs d’essence!