On parle beaucoup de vacances sur ce blog… c’est trop injuste pour ceux qui, justement, viennent de mettre un terme aux leurs !
Alors, afin de ne gêner personne, je vous parlerai aujourd’hui de… notre déplacement en France. Ça va ? Vous êtes contents ?
Il y a, au-dessus de l’endroit où j’ai habité pendant plus de 50 ans cette étonnante boule de radar. Elle date de 1956 et j’ai toujours eu peur de monter si haut pour la contempler (plus de 1600 mètres d’altitute tout de même!)
Mon rêve s’est réalisé en Dordogne, dans un camping. Courageux le mec non?
Donc, notre déplacement continue, mais une vitesse inconnue de ceux qui sont habitués à faire 1000 km par jour, de patienter dans des bouchons de 800 km et de faire la queue sur les routes, dans les restaurants, à la plage et en attendant qu’une place se libère dans le camping.
Je vous avoue avoir parcouru en un jour, 250 km (d’autoroute !) depuis notre dernier campement en Dordogne. Bon, nous ne sommes que deux à nous partager le volant, Nico n’ayant pas encore obtenu son permis de conduire, mais ce fût tout de même une belle étape, de près de trois heures. A tel point qu’avant de nous remettre en route demain, nous nous sommes reposés pendant 4 jours dans un camping désert, en pleine verdure, près d’une rivière.
Où ? Nous demanderez-vous ?
Dans une région fort connue et prisée de cette belle France. Des indices ? C’est bien parce que c’est pour vous car nous ne voulons pas que notre périple attire trop de monde.
La région est dominée par une fameuse montagne de près de 1500 mètres d’altitude, figurant au Patrimoine mondial de l’Unesco. Vous y êtes ? Non ? Alors sachez nous dégustons sans modération du Saint Nectaire, du Cantal, du Salers, du Bleu de la région (je ne vais tout de même pas vous dire de quelle région il s’agit) et de la Fourme d’Ambert. Pour les ‘fadas’ du GPS, et pour vous repérer, je vous offre les derniers 20 kilomètres qui nous ont amené jusqu’ici. On retient son souffle, car vous allez entendre des noms de lieux parmi les plus connus de France :
A Olby prenez la première à droite, puis à gauche vers Le Léry (pour les non habitués au guidage routier moderne, lire : « allez jusqu’au cul de sac vers la ferme, faites marche arrière sur un demi kilomètre et recommencez en inversant première à gauche avec deuxième à droite, etc … vous avez pigé ? ») tiens, nous entrons dans Saulzet-le-Chaud, que les fins limiers de Google Street n’ont pas encore débusqué, puis prenez à droite ou à gauche, ça dépend de votre humeur du moment, en direction de Theix et Rouillas-Bas… à moins que ce soit le contraire. A ce stade du parcours du combattant vous venez, sans vous en rendre compte, d’éviter une catastrophe, en ignorant un patelin au goût vraiment ‘imbuvable’… Volvic !
Faut se presser, car il est onze heures, hé hé, ‘apéro time’, Pastis sans flotte (voir ci-dessus)… ouf, nous sommes arrivés à destination : Saint Bonnet-Près-Orcival. Je vous l’avais dit ma pauv’ dame… c’est tout droit, vous ne pouvez pas vous tromper !
Un tel gymkhana méritait bien 4 jours de repos, dont acte !
Demain, une autre destination symbolique pour Cornelia et moi, pas encore de détails, mais un indice : Noces de Perles !
Nous en reparlerons. A+
C’est quoi les noces de perles??😂 J’espère qu’à la place du fromage il y aura du bon à boire😉C’est vrai que le GPS nous joue bien des troues parfois!!
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Je connais la bière Perle.
Vous venez en Alsace ?
https://www.biere-perle.com/
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En principe, pas cette fois, dommage! Salut Oth.
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La Dôle ! Le radar sous le radôme surveille le trafic aérien au dessus de Genève … si ma mémoire n’est pas trop vaporisée par la chaleur. Mon terrain de jeu était plutôt entre le Reculet et le Colomby de Gex !
Une belle soirée à vous trois, au calme et au frais.
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Si l’eau de Volvic est bonne pour la santé, je ne suis pas sûre qu’elle soit agréable dans le pastis 😀
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Ah ben visiblement tu n’as pas perdu la boule… ni le radar! Profitez bien de votre périple qui ne s’effectue pas à « un rythme de sénateur », me semble-t-il !
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Bin si, justement, et j’ai relu la définition par acquis de conscience, un train de sénateur est une autre manière de dire: pépère, tranquillement, sans hâte, même lentement non?
Dans notre cas, moins de 1600 km en 2 semaines… ce ne me semble pas vraiment être une vitesse folle du genre pour gagner les 24 Heures du Mans! Amicalement depuis les environs de La Tour du Pin, où nous allons passer au moins deux jours!
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Alors pas les châteaux de Loire pour les noces de Perle ?
A pluche et bonne balade en Auvergne.
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Nous sommes à nouveau dans les Pyrénées (Prades) et mettons le cap sur l’Espagne la semaine prochaine. Amicales salutations Anatole!
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